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RESUME

Le Centre Socio-Culturel jean-Paul Coste est ancré dans le territoire aixois depuis plus de 50 ans et son projet associatif s'est construit sur des valeurs de solidarité, d'engagement et de partage. Sa zone de vie sociale comprend 7 quartiers dont les données socio-démographiques varient d'un quartier à l'autre. Une des particularités du territoire est qu'il jouxte le suartier des Facultés qui compte de nombreux établissements d'enseignement et de logements pour les étudiants.

Par ailleurs une part importante des habitants de notre zone de vie sociale travaillent et sont usagères des services de garde ce qui se traduit par une demande importante d'accueil des enfants au sein des ACM, dans un contexte ou la pénurie nationale d'animateurs est en forte augmentation. Ainsi le secteur Enfance peut accueuillir jusqu'à 259 enfants par jour d'ouverture. Il est stratégiqur puisqu'il représente 40 % du budget totale de la structure.

Responsable d'un des deux ACM, j'ai pris la direction du secteur enfance dans le cadre du pojet de développement qui vise à maintenir la qualité de service aux familles par la mise en place d'une dynamique partenariale favorisant l'engagement des jeunes et étudiants au sein des ACM. Pour mettre en œuvre ce projet de développement, la stratégie que je propose est la suivante :

- La mise en place d'une politique de ressources humaines visant la formation et la mobilisation des équipes autour du projet de développement ;
- La mobilisation des ressources partenariales du territoire visant à favoriser l'engagement des jeunes au sein des ACL et à plus long terme au sein du Centre Social.

La finalité du projet est de maintenir un service de qualité aux enfants et aux familles en impliquant d'avantage les habitants dans le projet du secteur enfance et, à plus long terme, dans le projet du Centre Social.

4e de couverture, le mot de l'éditeur
Cet ouvrage présente la synthèse théorique de recherches dont le livre Les héritiers, en 1964, marquait la première étape. A partir de travaux empiriques sur le rapport pédagogique, sur l'usage lettré ou mondain de la langue et de la culture universitaires et sur les effets économiques et symboliques de l'examen et du diplôme, se construit comme une théorie générale des actions de violence symbolique et des conditions sociales de la dissimulation de cette violence. En explicitant les conditions sociales du rapport d'imposition symbolique, cette théorie définit les limites méthodologiques des analyses qui, sous l'influence cumulée de la linguistique, de la cybernétique et de la psychanalyse, tendent à réduire les rapports sociaux à de purs rapports symboliques. L'école produit des illusions dont les effets sont loin d'être illusoires : ainsi, l'illusion de l'indépendance et de la neutralité scolaires est au principe de la contribution la plus spécifique que l'Ecole apporte à la reproduction de l'ordre établi. Par suite, essayer de mettre au jour les lois selon lesquelles elle reproduit la structure de la distribution du capital culturel, c'est non seulement se donner les moyens de comprendre complètement les contradictions qui affectent aujourd'hui les systèmes d'enseignement, mais encore contribuer à une théorie de la pratique qui, constituant les agents comme produits de structures, reproducteurs des structures, échappe aussi bien au subjectivisme de la liberté qu'à l'objectivisme pan-structuraliste.

I/ Habiter chez autrui : pourquoi et comment ?
Trajectoires et expériences de jeunes hébergés en région parisienne
II/ Modes de (déco)habiter des jeunes descendants d’immigrés
III/ Quitter le « quartier » et habiter la « ville »
Parcours résidentiels de jeunes femmes d’origine étrangère
IV/ Les mondes vécus de l’étudiant-habitant
Typologie des manières d’être et d’habiter
V/ De la construction d’un « chez soi collectif » à la composition d’un « chez nous »
Enquête auprès de jeunes actifs suisses